La mairesse de Beloeil et cheffe du parti Oser Beloeil, Nadine Viau, souhaite faire de la création d’un pôle du savoir un projet phare de son prochain mandat. Ce pôle vise à rapprocher l’offre de formation postsecondaire des citoyens et des entreprises de la région.

« Développer un pôle du savoir à Beloeil, c’est poser un geste concret pour soutenir notre développement économique, renforcer le lien entre nos entreprises et la formation de la main-d’œuvre, et offrir davantage d’opportunités à nos jeunes », explique Mme Viau.

Un projet structurant et mobilisateur
Le pôle du savoir proposé par Oser Beloeil permettra d’attirer des programmes collégiaux et universitaires adaptés aux besoins de l’économie régionale. En offrant des formations sur le territoire, Beloeil souhaite soutenir ses entreprises locales, favoriser la rétention de la main-d’œuvre qualifiée et offrir des emplois de qualité directement dans la communauté.

« Garder une partie de nos étudiantes et étudiants sur le territoire, c’est aussi soutenir nos commerces de proximité, réduire les déplacements et compléter l’offre de formation déjà disponible entre Saint-Hyacinthe et Longueuil », souligne Mme Viau.

Une démarche concertée
Pour concrétiser cette vision, Oser Beloeil s’engage à déposer un plan d’action dès 2026 et à mettre sur pied un comité de travail regroupant des représentants du milieu de l’éducation, du secteur économique et des promoteurs immobiliers.

« Les modèles universitaires évoluent et se rapprochent des étudiants. Beloeil peut faire partie de la solution, et c’est ce que nous voulons bâtir avec l’ensemble des partenaires concernés », précise Mme Viau.

Une vision à long terme
Comme le projet repose sur des terrains privés, plusieurs étapes seront nécessaires avant sa réalisation. Oser Beloeil souhaite donc amorcer rapidement le travail de concertation et de planification pour poser les fondations de ce projet structurant et mobilisateur.

« Déposer une vision claire pour un pôle du savoir à Beloeil, c’est se donner les moyens de bâtir une ville où il fait bon apprendre, travailler et vivre », conclut Mme Viau.